Après la Géorgie , nous sommes entrés en Azerbaïdjan, la terre de feu. Nous avons traversé le pays rapidement, en autostop.

Retrouvez des photos de l’Azerbaïdjan dans notre galerie.

Ganja

Nous faisons notre premier arrêt à Ganja, pour cause : nous avons trouvé un Couchsurfing dans la ville.

Quand on entre dans un pays et que l’occasion se présente de faire du Couchsurfing, on la saisit !

Si vous vous demandez toujours pourquoi, jetez donc un coup d’oeil à notre article Couchsurfing : rencontres, partage, entraide.

L’autostop en Azerbaïdjan

Hakim nous donne sa position, un peu en dehors de Ganja. Pas de soucis, nous viendrons en autostop !

Il nous avertit :

– I don’t think hitchhiking will work in Ganja.

– Don’t worry, we did it many times on the way to Azerbaïdjan.

– Yes, but from now it will be different.

C’est pas tout à fait vrai, et c’est pas totalement faux :

  • Nous n’aurons aucun problème à rejoindre sa maison en une trentaine de minutes.
  • Mais à compter de ce jour nous devrons systématiquement expliquer aux voitures ce qu’est l’autostop.

Bref, on a passé un bon moment avec Hakim qui nous a fait visiter la ville et invité à manger un repas traditionnel avec son beau-père.

On a aussi bu pas mal de vodka (bah oui, j’ai dit traditionnel).

Couchsurfing Azerbaïdjan

Couchsurfing Azerbaïdjan

Le lendemain, on repart pour Baku.

Baku

Baku est la capitale du pays et semble être sa vitrine. Cette ville est impressionnante.

Les grands boulevards sont imposants. L’architecture est récente. Les immeubles d’imitation européenne contrastent avec quelques hautes tours modernes. Les magasins de luxe sont partout. La vieille ville est petite mais parfaitement restaurée.

Tout est propre, pas un déchet, aucun tag à l’horizon. Chaque coin de rue transpire la richesse, fruit du pétrole et du gaz.

Flame tower, Baku

Baku

Volcans de boue

Après avoir récupéré nos visas iraniens , nous prennons la direction des volcans de boue de Gobestan.

Volcan en vue !

Petits cratères encore en activité, la boue grise y mijote, chauffée par le gaz. Vincent s’est offert un bain bouillonnant.

Bain de boue

Couvert de terre grise, il court ensuite vers la mer Caspienne à 1 km, pour se rincer.

Et là, c’est le drame, l’eau est pleine de pétrole, impossible de s’y temper !

On a bien ri en frottant la boue séchée avant qu’il puisse se rhabiller. Le soir, on s’est offert une nuit à l’hôtel avec une bonne douche en prime.

Se rincer dans la mer caspienne ? Mauvaise idée !

On est d’attaque pour l’Iran !